Chaque parent a vécu au moins une fois la crise de nerfs de son enfant. Voici Mes trucs de maman pour gérer les crises de mon enfant.
Une détresse totale. Nous les craignons, nous ne savons pas toujours comment les communiquer, et surtout, il peut être difficile de les contrôler et d’apaiser notre enfant. Aujourd’hui, je vais partager avec vous quelques conseils parentaux pour gérer les crises d’un enfant.
Oui, car il n’est pas surprenant que nous en fassions tous l’expérience. Depuis que nous sommes devenues mamans, nous avons TOUTES rencontré des situations de ce genre : les crises de colère, les terribles TWO, les colères à l’épicerie pour une boîte de bonbons, les crises d’angoisse pour un refus, et j’en passe. Et parfois, cela nous stresse.
Pourquoi agit-il de cette façon ? Comment le calmer ?
Nous nous posons fréquemment des questions similaires à celle-ci. Je vais tenter de le comprendre aujourd’hui, non pas en tant que professionnelle mais en tant que mère.
Lorsqu’une crise de cette nature survient, il y a une RAISON à cela.
Pourquoi s’est-il mis dans cet état est la première chose à considérer. Car, contrairement à la croyance populaire, un jeune qui boude n’est pas toujours un sale gosse indiscipliné. En période de crise, les enfants ont souvent quelque chose à dire. Il existe une multitude de réponses à cette question, mais j’ai personnellement remarqué trois réponses significatives chez mes enfants :
Il existe trois types de crises : les crises de mal-être, les crises de « recherche de limites » ou de résistance.
Les crises de fatigue
La trame est assez basique. En raison d’un épuisement physique ou mental, votre enfant est plus agité et enthousiaste et a du mal à contrôler ses émotions. La meilleure solution consiste à coucher votre enfant pour qu’il puisse se reposer et récupérer son énergie. Bien entendu, vous ne devez pas mettre votre enfant au lit s’il ne s’est pas calmé ou s’il a du mal à s’endormir. Serrez-le fort dans vos bras pour le réconforter.
Crises de recherche de restrictions et d’opposition
Ma sage-femme m’a informé un jour que l’enfant est d’autant plus agité et fait de plus grandes crises de colère que les limites parentales sont rigides. En bref, si vous êtes trop décontracté avec vos enfants et que vous n’établissez pas de limites claires pour leur éducation, ils deviendront nerveux et vous mettront à l’épreuve en en demandant davantage.
Puis, à mesure que l’enfant grandira et se développera, il remettra fréquemment en question les limites que vous avez établies pour lui afin de déterminer si elles sont respectées. Le pire dans cette situation, c’est que si vous cédez, votre enfant se sentira mal à l’aise à cause des limites franchies et commencera à piquer de nouvelles colères pour vous inciter à revenir sur votre position.
En d’autres termes, accrochez-vous, il n’y a pas 36 réponses ici.
Vous devez maintenir votre position tout en étant poli et attentionné envers les autres. Votre jeune comprendra que les crises ne servent à rien et qu’il est en sécurité lorsqu’il se rendra compte que vous ne cédez jamais.
La crise de mal-être
C’est la plus complexe et la plus complète, à mon avis. Lorsque votre enfant fait des caprices à cause d’un plat de purée qu’il ne veut pas manger, il est fréquent qu’il y ait un malaise sous-jacent qui doit être exprimé.
De quoi s’agit-il ? Peut-être a-t-il des problèmes à l’école, est-il déprimé par un événement récent (comme la perte d’un être cher, un changement d’école, une dispute, une séparation, la naissance d’un enfant), a-t-il peur de quelque chose ou est-il anxieux. Vous devez interpréter votre enfant pour vous-même. Il a besoin de vous, parent, et il a quelque chose à vous dire, c’est certain.
Et dans ce genre de circonstances, il n’y a souvent que deux choses à faire : réconforter le jeune en le couvrant d’autant d’amour que possible, et prêter attention à ce qu’il a à dire.