Il y a plus de vingt ans de cela, une femme a fait face à de nombreux essais de fécondation in vitro, qui malheureusement n’ont pas abouti. Mais enfin, à l’âge de 53 ans, son plus grand souhait de devenir maman s’est réalisé.
Helen Dalglish a accueilli son tout premier enfant en septembre 2022. Sa fille, prénommée Daisy Grace, est enfin venue au monde après 25 ans de tentatives infructueuses pour concevoir un enfant. L’histoire de cette Écossaise, partagée avec bienveillance dans le Daily Record, témoigne de son parcours difficile pour atteindre son rêve.
infertilité inexpliquée
Quand Helen Dalglish avait environ 20 ans, elle a déménagé à Chypre. À cette époque, elle vivait avec son mari et ils ont décidé de commencer à essayer d’avoir un bébé quand elle avait 28 ans. Cependant, malgré leurs efforts, elle n’a pas réussi à tomber enceinte. Les médecins ont évoqué la possibilité que cela soit lié à la position de son utérus, mais après son retour en Écosse, elle a subi des tests de fertilité. Les spécialistes ne semblaient pas partager les mêmes inquiétudes et ont finalement diagnostiqué elle et son mari d’une infertilité inexpliquée.
20 ans d’essais FIV
Pour essayer d’avoir un bébé, le couple a fait quatre fois l’insémination artificielle, mais malheureusement, ça n’a pas marché. Alors ils se sont dit, pourquoi pas essayer la fécondation in vitro (FIV). Mais le truc, c’est que le service de santé du Royaume-Uni, le NHS, ne rembourse qu’une seule tentative, et ça n’a pas marché non plus. Les vingt années qui ont suivi, Helen Dalglish a continué avec les essais FIV, mais cette fois, ils ont dû payer de leur propre poche. Ça leur a coûté une sacrée somme, genre 100 000 $, soit environ 93 585 euros ! C’est pas donné, hein.
C’est vraiment triste d’entendre que malgré de nombreux essais de fécondation in vitro, ça n’a jamais marché pour le couple. Les médecins disaient que leurs embryons étaient de super qualité, mais ça n’aboutissait jamais. Ça a été une épreuve vraiment difficile, émotionnellement, physiquement et financièrement pour eux. Ils ont même pris des pauses pendant un ou deux ans pour essayer d’oublier un peu tout ça, mais c’était difficile de ne pas y penser.
Helen Dalglish se souvient à quel point chaque essai raté était dévastateur, comme une sorte de deuil à chaque fois. Elle essayait de reprendre courage après chaque échec, de repartir à zéro. Mais ça n’arrêtait pas de la faire souffrir, surtout lors des transferts d’embryons qui étaient vraiment douloureux. Elle a même demandé à être anesthésiée, mais ça ne changeait rien.
Finalement, après plus de dix ans de galère, elle a rencontré un spécialiste écossais de la fertilité qui a découvert que son utérus était rétroversé. Ce qui expliquait tous les échecs des transferts précédents, c’était vraiment du gâchis. Heureusement, le médecin a pu adapter sa technique, et cette fois, elle est tombée enceinte trois fois. Mais malheureusement, elle a fait trois fausses couches naturelles. C’était vraiment dur pour elle, elle était dans la quarantaine et elle se battait toujours.
Elle a alors décidé d’essayer avec un don d’ovocytes, et ils ont créé dix embryons en bonne santé. Mais même ça n’a pas fonctionné, les transferts n’ont pas pris. C’était vraiment déchirant pour elle et son mari. C’est tellement injuste que ça ait été si difficile pour eux d’avoir un bébé.
Elle tombe enceinte et accouche à 53 ans
Entre-temps, Helen Dalglish a déménagé à nouveau à Chypre avec son nouveau compagnon. Ils se sont dit qu’ils allaient essayer leurs dernières chances dans une clinique là-bas, mais elle était vraiment prête à laisser tomber. Ça allait pas bien du tout, surtout parce que son père était gravement malade en Écosse, et malheureusement, il est décédé. C’était un moment vraiment difficile pour elle. Mais sa maman lui a dit que son père, depuis le paradis, voulait lui envoyer quelque chose, et elle a demandé : « Envoie-lui un bébé, s’il te plaît ». Cela l’a touchée et lui a donné la motivation de continuer.
Le premier essai à la clinique a foiré à cause de problèmes génétiques avec les embryons, c’était vraiment triste. Mais ils ont pas lâché, ils ont essayé une deuxième fois et cette fois, ça a marché ! Avant d’implanter les embryons, le médecin a fait des trucs pour être sûr que tout était bien placé dans son utérus, et deux semaines plus tard, ils ont eu la confirmation de la grossesse. Ils étaient aux anges ! Ils ont pleuré et crié de joie, c’était vraiment un moment magique pour eux.
Pendant la grossesse, Helen Dalglish a eu quelques soucis de santé, comme du diabète gestationnel et de la pré-éclampsie, mais elle était tellement heureuse d’être enceinte. Pour elle, c’était la plus grande joie du monde. Elle regardait son ventre grossir et elle se disait que c’était pas possible, que c’était un rêve. Et maintenant, quand elle regarde sa fille Daisy, elle peut pas croire qu’elle est devenue maman. C’est fou, c’est comme un conte de fées.
Quand Daisy est née, ça a complètement changé la vie d’Helen. Elle était submergée d’émotions, elle fondait en larmes de bonheur et de soulagement. Elle avait attendu si longtemps pour ça, c’était incroyable. Daisy est le bébé le plus doux, le plus cool et le plus heureux, selon elle. Et maintenant, elle ne peut pas s’imaginer sa vie sans sa petite puce.
C’était vraiment leur dernière chance, car la clinique arrête de faire des FIV à partir de 55 ans. Alors c’était vraiment le bon moment, ils ont saisi l’opportunité et ça a marché pour eux. C’est vraiment une histoire incroyable, et ça montre que même après toutes ces années de galère, les rêves peuvent se réaliser.